"Survival" is the title of this editorial by Birgitte Mahrt featuring Stuart Jones groomed by Terry Saxon and shot by Lionel Guyou for the current issue of French fash mag TWIST.
Le monde bafoue les fondamentaux historiques. Alors que la mode croyait pouvoir échapper à la sinistrose actuelle, observant du haut de sa tour d'ivoire une société en déliquescence active, c'est sur fond d'apocalypse qu'elle se réinvente. La contre-culture s'érige sur les cendres encore fumantes d'une post-modernité mal digérée et dégueulée dans l'excès. Noir ou blanc ? Résolument noir. Mais un noir qui partouzerait avec les exentricités les plus dingues. Ça sentirait le peroxyde, la beuh, les cocktails illicitovs ingurgités dans les squats. Les corps commenceraient leur mue par les fringues assexuant les silhouettes dans les échancrures libératoires et des matières en vol fleurant bon une liberté tout compte fait pas si chère payée. Entre ultime rempart aux agressions extérieures et étendard d'une personnalité s'affirmant dans la marginalité, la fringue réinvestirait son rôle de seconde peau, loin de toutes préoccupations séductrices. Alors, aux premiers signes avant-coureurs de rébellion bien courue, quand la crêtouze en pétard recommence à gratter le cul de la bienséance urbaine, lorsque les créateurs redessinent l'armure cloutée, lorsque les délurés réformateurs scandent leur hymne nihiliste, il est grand temps de rejoindre le mouvement en gestation. Punk's not dead.
Le monde bafoue les fondamentaux historiques. Alors que la mode croyait pouvoir échapper à la sinistrose actuelle, observant du haut de sa tour d'ivoire une société en déliquescence active, c'est sur fond d'apocalypse qu'elle se réinvente. La contre-culture s'érige sur les cendres encore fumantes d'une post-modernité mal digérée et dégueulée dans l'excès. Noir ou blanc ? Résolument noir. Mais un noir qui partouzerait avec les exentricités les plus dingues. Ça sentirait le peroxyde, la beuh, les cocktails illicitovs ingurgités dans les squats. Les corps commenceraient leur mue par les fringues assexuant les silhouettes dans les échancrures libératoires et des matières en vol fleurant bon une liberté tout compte fait pas si chère payée. Entre ultime rempart aux agressions extérieures et étendard d'une personnalité s'affirmant dans la marginalité, la fringue réinvestirait son rôle de seconde peau, loin de toutes préoccupations séductrices. Alors, aux premiers signes avant-coureurs de rébellion bien courue, quand la crêtouze en pétard recommence à gratter le cul de la bienséance urbaine, lorsque les créateurs redessinent l'armure cloutée, lorsque les délurés réformateurs scandent leur hymne nihiliste, il est grand temps de rejoindre le mouvement en gestation. Punk's not dead.